Le douzième symptôme, c’est : il souffre du symptôme de vouloir être parfait.
Sauf que ce que l’on oublie, c’est qu’on est parfait pour nous. Le public ne nous demande pas d’être parfait, c’est vous qui demandez à vous-même de l’être.
D’ailleurs, certainement que le public apprécie la variation générée par l’imperfection, il apprécie les aspérités, il apprécie la différence, il apprécie que les choses ne soient pas toujours carrées, cadrées comme vous le souhaiteriez.
Avez-vous ce grave problème de communication ?
Essayez de ne pas chercher toujours la perfection.
Rappelez-vous que bien faire, ce n’est pas toujours parfaire.
Si vous avez ça en tête, vous ne souffrirez pas de ce symptôme, dont la grande majorité des gens, on ne va pas se mentir, souffrent dans leur prise de parole.
Ils cherchent à faire parfait parce qu’au fond, ils cherchent à faire pour eux, pas pour les autres.
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