De toute façon, avec toi, c’est toujours pareil.
Vous voyez ce genre de phrase là. Ce genre de critique qui, d’une certaine manière, ne disent pas leur nom.
Je vous invite à aller voir comme pourrait le faire Miguel Ruiz, cet auteur qui est connu parce qu’il a écrit les Quatre Accords Toltèques.
Si vous ne connaissez pas ce bouquin, courrez l’acheter, vraiment, car il peut vous aider à développer une nouvelle philosophie de vie. C’est comme une religion de vie c’est Quatre Accords Toltèques.
Vous voyez cette attaque, c’est un petit peu comme une patate chaude. “Avec toi, c’est toujours pareil”.
On vous envoie cette patate chaude, ou bien le public vous l’envoie en vous critiquant : Vous n’êtes pas assez ceci, vous êtes trop cela, vous n’êtes pas assez à l’aise… C’est une patate chaude qu’on vous envoie.
Et là, quand vous réalisez qu’on vous envoie la patate chaude, vous avez plusieurs possibilités.
Ne plus avoir peur d’être critiqué
Soit, vous la prenez et dans ce cas-là elle vous chauffe les mains et dans ce cas-là, vous allez la retirer, la relancer : “non non mais c’est toi, c’est toi” et après, on se renvoie la patate chaude. C’est parfait, mais si vous faites ça, la patate chaude qui était à votre interlocuteur devient la vôtre, donc vous êtes responsable de ce que vous envoyez, puisque vous l’avez envoyé.
Soit, il y a une autre possibilité, c’est de ne pas ramasser la patate chaude qu’on vous a envoyée. C’est de dire ok, on m’envoie cette patate chaude et bien, elle est tombée à côté. Je ne vais pas la renvoyer.
Je vous demande de faire pareil avec toute critique potentielle, qui peut vous toucher :
Vous n’êtes pas assez éloquent, vous manquez de confiance en vous, c’est trop timide. Ok, on vous envoie la patate chaude, ne la renvoyez pas, ne cherchez même pas à la toucher, vous pourriez vous brûler.
Gardez cette image à l’esprit.
Quelqu’un qui vous envoie une patate chaude, vous avez le choix de ne pas la reprendre et de ne pas la relancer. Si vous vous rappelez de ça, vous êtes libre et vous êtes en maîtrise.
Ce n’est pas parce qu’on me critique, que je dois critiquer derrière.
Ce n’est pas parce qu’on m’attaque, que je dois contre-attaquer.
Le fait de contre-attaquer montre bien que j’ai été victime et donc dans un mouvement de défense, je cherche à attaquer.
Ne vous faites pas avoir par ce jeu qui consiste à avoir peur de la critique et donc à critiquer de nouveau pour se défendre.
Ne laissez pas ces personnes qui n’ont rien à faire, vous toucher avec leurs patates chaudes et rappelez-vous de ça, si vous voulez être plus à l’aise avec cette idée de la critique et moins en souffrir.
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